•  

    http://www.lefigaro.fr - CULTURE MUSIQUE Par Éléonore Prieur Publié le 23/01/2014 à 13:09

    DISPARITION -

    L'auteur d'un des titres les plus célèbres des années 1960 est mort à l'âge de 81 ans. Pour certains artistes, il suffit d'un tube pour entrer dans la légende. Il y a le soleil, le ciel et la mer....

    Ce succès des années 1960 bien que patiné par l'âge est devenu une indémodable ritournelle.

    Son auteur peut-être moins. François Deguelt est mort mercredi à l'âge de 81 ans selon Le Parisien, des suites d'une longue maladie.

    Né en Charente, cet auteur-compositeur-interprète monte à Paris au début des années 1950 pour y compléter ses études. Henri Salvador et Félix Leclerc l'entendent chanter dans un cabaret et lui conseillent de se mettre à musique.

    François Deguelt délaisse alors la philosophie pour la chanson. Il écrit ses premiers morceaux en 1952. Il représentera par deux fois, la principauté de Monaco au concours Eurovision de la chanson, et finit même troisième en 1960.

    Parmi ses titres connus:

    Je te tendrai les bras, Minuit, le vent, la nuit, Ce soir-là. Son dernier succès Le Bal de la marine date de 1968.

    Il s'essaie également au cinéma et obtient un rôle dans L'assassin viendra ce soir de Jean Maley, en 1962.

    Par la suite, Deguelt décide de vivre sur un bateau durant plusieurs années.

    En 1973, il s'offre un cabaret à Montmartre, Chez ma cousine, où débutera Dave.

    Depuis 2006, il participait aux tournées d'Âge tendre et tête de bois en France et dans les pays francophones.

     

    Photo "le Parisien"

     

     


    6 commentaires
  •  

     

     

                                                                                                         

     

     


    2 commentaires
  •                                                          

     

    http://fr.news.yahoo.com/grand-amour-addictif-070007824.html

     

    Dix-sept ans après « Superflu », l’album qui a propulsé Obispo, la dream team — Pascal Obispo voix et musique, Pierre Jaconelli à la coproduction et Lionel Florence aux textes — se reforme. Et réalise le dernier grand disque de l’année. Comme dans la flamboyante décennie 1996-2006, les tubes d’Obispo se ramassent à la pelle, du « Grand Amour » et son refrain accrocheur sur guitares new wave au duo « Quand j’entends la musique », avec la sensuelle Elodie Frégé, ode digne du « Musique » écrit par Michel Berger pour France Gall en 1977.

    Mais c’est surtout l’émotion qui domine sur ce disque à fleur de peau, où Obispo réconcilie comme jamais variété française populaire et grosse production à l’anglo-saxonne. Si « D’un Avé Maria » était touchant, on ne sait où donner du frisson entre le japonisant « Arigatô », le vibrant « Un homme est passé » et le troublant « Villa Saïd ».

    Lorsque cette onzième chanson s’achève, on n’a qu’une envie : revenir déguster les fruits de sa passion. Quand Obispo est à ce niveau, on est fan.

    « Le Grand Amour », Jive-Epic/Sony, livre-CD, 16,99 €.

    Ecoutez son nouvel album :

    http://www.leparisien.fr/musique/ecoutez-le-nouvel-album-de-pascal-obispo-27-11-2013-3355195.php

     

    Attention ! (comme il n'y a pas de clip) la musique ne va pas avec la vidéo, la personne qui a créé la vidéo a du mettre cette chanson sur une autre vidéo, mais ca permet d'écouter ce joli duo avec Elodie Frégé qui rappelle un peu Michel Berger et France Gall

      Photo wikimedia


    2 commentaires
  •                                                                                                                          

    http://musique.ados.fr/Gael-Star-Academy-6.html

    Né le 16 juin 1984 à Pau, Gaël est un enfant très éveillé et se passionne très tôt pour le dessin, il crée des BD, se passionne pour les mangas... puis, à 13 ans, la musique lui tombe dessus quand il découvre le flamenco. Pris à la gorge, il découvre avec voracité tous les styles de musique, de Sade à Stevie Wonder, en passant par U2... tant de styles de musiques qui l'enrichissent artistiquement et lui permettent doucement de développer le sien, celui qui lui colle à la peau, le flamenco!

    Gaël apprend la guitare, et avec deux camarades de classe créé le groupe "Los Ultimos Rumberos". Chanteur, auteur-compositeur du groupe, il remporte avec eux le concours "Jeunesse musicale de France", puis le grand prix "Music'Ados", au cirque d'hiver à Paris. Vu l'acceuil chaleureux qui leur est fait, Gaël et son groupe autoproduisent un CD 4 titres intitulé Mariposa. Le style Flamenco-pop est né.

    Sûr de lui, de sa présence scénique, et de ses premières compositions, Gaël se présente au concours de la Star Academy et entre au chateau le 1er Septembre 2006. On l'appelait le Gitan de la promo. Rêveur mais dissipé, Gaël a une énergie de feu et pimente l'ambiance du château. Mais alors qu'il est très estimé par ses professeurs, chouchou du public et proche de la victoire, Gaël n' hésite pas à quitter le chateau lorsqu'il sent l'honneur de ses proches menacé...

    Fier de ses racines, Gaël décide de faire la musique qu'il aime, sans l'aide d'une major qui applanirait son style au détriment de sa musique... C'est son père, Alberto, qui sera le producteur de son premier album: Barrio Latino. Dès lors, Gaël s'installe comme le créateur du 'Flamenco Pop', un style gitan, aux arrangements modernes. Le résultat, un album pêchu, original puisque entièrement en Espagnol, qui ensoleille les journées les plus ternes.

    La musique gitane, c'est aussi la mélancolie, que Gaël retranscrit pudiquement, par petites touches, grâce à de grandes qualités d'interprétation. C'est sans l'aide d'une major que Barrio Latino se hisse à la centième place du top album dès la première semaine de sortie, un meilleur score que le gagnant de la saison antérieure, Cyril Cinélu, porté lui, par la major dont Gaël n' a pas voulu...

    Une belle revanche pour cet artiste qui n'a pas fini de nous étonner.


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires