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  • Vous vous souvenez de Michal de la starac, il vient de sortir un disque piano/Voix sur des musiques révisitées de Chopin, une pure merveille

    Il faut l'aider car c'est un artiste indépendant sans maison de disque ! donc pas de publicité !http://www.deezer.com/album/9426194

     

    http://toutelaculture.com/musique/classique-musique/chronique-chopin-etc-de-michal-kwiatkowski-une-virtuosite-onirique/

     

     « Chopin Etc. » de Michal Kwiatkowski : une virtuosité onirique 28 janvier 2015 Par Prescillia Rodax |

      Un an après avoir joué le spectacle Chopin Etc. sur la scène du Théâtre Les Déchargeurs, Michal Kwiatkowski réunit désormais les titres de son émouvant piano-voix dans son nouvel album, également intitulé Chopin Etc.

    Note de la rédaction : ★★★★★

    Sortie de l’ambiance feutrée et intime du Théâtre Les Déchargeurs, la voix de Michal n’en perd pas moins cette émotion singulière qui la caractérise. Grave, profonde, mais surtout sensible, elle nous transporte dans l’intimité de Frédéric Chopin à travers des morceaux éclectiques, composés de reprises et de titres originaux. Et c’est par une musique épurée, teintée de nostalgie et évoquant les amours déchirantes entre Chopin et George Sand que débute l’album.

    De « Mon Âme » au titre « Le Temps qui court », Michal Kwiatkowski nous entraîne dans cette joyeuse mélancolie, parfois empreinte de tristesse, mais toujours porteuse d’espoir face à ce temps qui reste suspendu, éternel. Torturé, l’amour est souvent synonyme de souffrance dans ce répertoire classique mais romantique du XIXe siècle. Pourtant, Michal lui donne un second souffle, tendre et passionnel, le temps d’un duo avec Élodie Frégé. Dans « Rien autour », la voix écorchée et sensuelle de la jeune artiste s’empare du morceau, contrastant habilement avec les partitions classiques du virtuose.

    Mais si dans Chopin Etc. Michal Kwiatkowski ne cesse de nous parler d’amour, c’est pour se fondre encore davantage dans cette douce harmonie, classique et intime qu’il emprunte à Frédéric Chopin, dans un élan mesuré de patriotisme.

    Les mélodies sont jouées, réinventées et portées par un éclectisme affirmé qui dévoile toute la palette artistique du chanteur-musicien. Faisant le pont entre ses origines et sa terre d’accueil, Michal reprend des chansons françaises telles que « Lemon Incest » de Serge Gainsbourg, ou « Le Temps qui court » d’Alain Chamfort, qu’il mêle à la douceur des musiques polonaises. Et c’est dans cet ailleurs, slave et insouciant, que se dégage toute l’émotion de l’artiste.

    Un voyage onirique qui confirme l’harmonie de cette rencontre entre Michal et Chopin, de cette osmose entre un artiste de talent et un virtuose de renom.

    Michal Kwiatkowski, Chopin Etc., sortie le 26 janvier 2015.

     


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    http://www.jeanmarcmorandini.com/article-332120-a-87-ans-la-chanteuse-juliette-greco-icone-de-la-chanson-francaise-annonce-qu-elle-va-quitter-la-scene.html

     

    A 87 ans, la chanteuse Juliette Greco, icône de la chanson française, annonce qu'elle va quitter la scène

      A 87 ans, la chanteuse Juliette Greco, icône de la chanson française, a annoncé sur RTL qu'elle quittera la scène après une dernière tournée en avril. "C'est très dur, c'est très compliqué pour moi, c'est très douloureux: il faut savoir partir joliment", a dit l'ancienne muse de Saint-Germain des Prés qui fêtera ses 88 ans dans quelques jours. "Ce qui me pousse, c'est que le temps passe et que je vais entamer ma dernière tournée", a-t-elle ajouté. "Quand je suis sur scène je ne suis pas fatiguée du tout", a poursuivi Juliette Greco, qui s'exprimait au téléphone depuis son lieu de résidence à Ramatuelle (Var). "Je vais avoir 88 ans dans dix jours, je ne voudrais pas donner le spectacle d'une vieille femme qui s'accroche, je ne voudrais pas avoir honte, aller trop loin", a-t-elle dit.

    Elle lancera "Merci", sa tournée d'adieux, le 24 avril au Printemps de Bourges, où elle n'était pas venue depuis 2007.

    A la fin des années 1940, Raymond Queneau et Jean-Paul Sartre signent les premiers succès de Juliette Greco au cabaret "Le Tabou" : "Si tu t'imagines..." et "La Rue des Blancs-Manteaux".

    http://www.juliettegreco.fr/

     Une enfant Juliette Gréco est née d'un père d'origine corse, Gérard Gréco, commissaire de la police des jeux, et d'une mère bordelaise, Juliette Lafeychine. Ses parents étant séparés, ses grands-parents maternels l'élèvent à Bordeaux avec sa sœur aînée Charlotte. Leur mère les rejoint en 1933 et les emmène toutes les deux à Paris. Passionnée de danse, Juliette, en 1939, est petit rat à l'Opéra Garnier.

    La guerre ayant éclaté, la famille retourne dans le sud-ouest de la France (en Dordogne). C'est là que sa mère s'engage dans la Résistance et se fait arrêter en 1943. Les deux sœurs rejoignent Paris mais sont capturées et emprisonnées à maison d'arrêt de Fresnes. Elle ne sera pas déportée à cause de son jeune âge, contrairement à sa mère et sa sœur aînée Charlotte qui seront envoyées à Ravensbrück. Elles ne reviendront de déportation qu'en 1945, après la libération du camp par l'Armée rouge. Juliette est libérée de Fresnes et, après avoir récupéré ses affaires au siège de la Gestapo française dans le 16e arrondissement de Paris, elle se retrouve seule et sans ressources « sur l'avenue la plus belle du monde, l'avenue Foch » avec un ticket de métro en poche.

    Elle se rend alors chez la seule personne de sa connaissance résidant dans la capitale, Hélène Duc, qui avait été son professeur de français à Bergerac et une amie de sa mère. Elle sait qu'Hélène habite rue Servandoni, près de l'église Saint-Sulpice. Celle-ci la loge dans la pension où elle-même y demeure et la prend en charge.

     

    Une jeune femme libre

    Le quartier de Saint-Germain-des-Prés est à deux pas de là et, en 1945, Juliette découvre le bouillonnement intellectuel de la rive gauche et la vie politique à travers les Jeunesses communistes. Hélène Duc l'envoie suivre les cours d'art dramatique dispensés par Solange Sicard. Juliette décroche quelques rôles au théâtre (Victor ou les Enfants au pouvoir en novembre 1946) et travaille sur une émission de radio consacrée à la poésie. Juliette noue des relations amicales avec de jeunes artistes et intellectuels du quartier de Saint-Germain-des-Prés, dont Anne-Marie Cazalis et Boris Vian. C'est dans l'une des caves de la rue Dauphine, Le Tabou, qu'elle découvre par hasard grâce à son manteau qu'elle avait posé sur la rampe et qui était tombé en bas d'un escalier, que celui-ci dispose d'une grande cave voûtée inutilisée que le patron appelle « le tunnel ».

    Juliette et ses copains trouvent l'endroit idéal pour y faire de la musique et danser tout en discutant de philosophie. Il suffit d'une semaine pour que les curieux viennent en nombre pour observer cette nouvelle et bizarre faune baptisée existentialistes. Juliette, devenue la célèbre muse de Saint-Germain-des-Prés sans avoir rien accompli de probant, décide alors de justifier sa célébrité en optant pour la chanson.

    Jean-Paul Sartre lui confie une sorte de mélopée qu'il a écrite pour sa pièce de théâtre Huis clos et lui conseille d'aller voir le compositeur Joseph Kosma pour que celui-ci en réécrive la musiqueNote 1 qu'il ne trouvait pas réussie. C'est ainsi que Juliette interprète la chanson Rue des Blancs-Manteaux, œuvre née de la plume du chantre de l'existentialisme et d'un compositeur rompu à l'art de mise en musique de la poésie (notamment celle de Jacques Prévert).

    En 1949, disposant d'un riche répertoire (de Jean-Paul Sartre à Boris Vian...), Juliette Gréco participe à la réouverture du cabaret le Bœuf sur le toit. Elle rencontre cette année-là Miles Davis dont elle tombe amoureuse. Il hésite à l'épouser, ce qui est impensable aux États-Unis (à l'époque, les unions entre Noirs et Blancs sont illégales dans de nombreux États américains). Ne voulant pas lui imposer une vie aux États-Unis en tant qu'épouse d'un Noir américain, et ne voulant pas abandonner sa carrière en France, ils renoncent et Miles rentre à New York à la fin mai.

    En 1951, elle reçoit le prix de la SACEM pour Je hais les dimanches.

    En 1952, elle part en tournée au Brésil et aux États-Unis dans la revue April in Paris. En 1954, elle chante à l'Olympia. Elle rencontre le comédien Philippe Lemaire, sur le tournage du film Quand tu liras cette lettre de Jean-Pierre Melville et l'épouse le 25 juin 1953. Ils divorcent en 1956 après la naissance de leur fille Laurence-Marie (née le 24 mars 1954). Elle repart pour New York et ses interprétations des plus grands auteurs français enthousiasment les Américains.

    Hollywood la courtise. Elle rencontre le producteur Darryl Zanuck sur le tournage du film Le soleil se lève aussi d'Henry King (1957). À présent vivant en couple avec Zanuk, elle tourne dans quelques-unes de ses productions jusqu'en 1961, notamment : Les Racines du ciel, (1958, John Huston), Drame dans un miroir (Richard Fleischer, 1960), films dans lesquels elle partage l'affiche avec Orson Welles.

    En 1961, avec le film d'aventure Le Grand Risque de Fleischer s'achève sa carrière « hollywoodienne », en même temps que sa relation avec Darryl Zanuck. Juliette Gréco (1966) Au début des années 1960, elle revient à la chanson et ne la quitte plus. Elle chante (notamment), Jacques Brel, Léo Ferré, Guy Béart et aussi Serge Gainsbourg alors un quasi inconnu.

    En 1965, elle se produit gratuitement dans les Maisons des jeunes et de la culture de la banlieue parisienne, devant un public constitué d'étudiants et d'ouvriers.


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    QU'EST CE QU'UN BAGAD ?

    Un bagad est un ensemble de musique traditionnelle bretonne inspiré du pipe band écossais.

    Il est composé de trois pupitres :

    bombarde, biniou braz (grande cornemuse) et percussion. Selon l'importance du bagad, le pupitre percussion peut être organisé en deux pupitres, l'un de percussions traditionnelles (caisses claires, batterie), l'autre de percussions non traditionnelles Bagad signifie « groupe » en breton. Dans le cas présent, il est l'abréviation de bagad sonerien (groupe de sonneurs)[.

    Une étymologie populaire veut que le mot bagad proviendrait de bag, la barque.

    Un bagad serait donc une « barquée », une « batelée » (ensemble des personnes embarquées)].

    Or il existe deux mots bagad en breton :

    l'un, féminin, qui désigne une « barquée » (car bag, bateau, est féminin en breton) et subit donc une mutation consonantique, tandis que l'autre, masculin, désigne un groupe, une troupe, un troupeau.

    On peut distinguer les deux termes en présence de l’article indéfini : ur vagad (une batelée) mais ur bagad (une troupe).

    Si bagad/barque vient du mot bag, bagad/troupe vient du vieux breton bacat (cf. le gallois bagad, cornique bagas et le gaulois bacaudae qui a donné le terme bagaudes). Le mot bag (bateau) est un emprunt au roman bac (baquet) qui lui-même vient du latin baccum (récipient).

    Au pluriel, bagad devient bagadoù, mais s'accorde différemment de la règle en français : précédés d'un cardinal (plusieurs : meur a vagad ; combien : ped bagad ? un nombre : tri bagad) les mots en breton ne prennent pas la marque du pluriel. Pour respecter la forme bretonne, on peut donc dire des bagadoù, mais il faut dire : deux bagad.

    Le premier mot utilisé pour désigner ces groupes est le mot « clique », apparu lors du premier championnat national des bagadoù en 1949.

    Le mot Band, en référence aux pipe bands, est aussi quelque temps usité, avant que le mot Bagad ne s'impose en 1950.

    Il est d'abord utilisé sous la forme Bagad-sonerion, puis seul. Le mot Kevrenn est aussi visible vers la fin des années 1940, désignant initialement à des ensembles administratifs regroupant plusieurs groupes de musiciens, mais étant parfois repris par les groupes eux-mêmes (comme à Auray, à Brest, ou encore à Rennes2).

    Enfin le mot Kerlenn est limité à un ensemble de Pontivy, dont les activités vont au-delà du périmètre habituel des bagadoù (théâtre...) /p>


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    http://www.ozap.com/actu/demis-roussos-est-mort/461728

    Un des slows de notre jeunesse!

     

    Demis Roussos est décédé.

    Le chanteur grec, connu à travers le monde pour ses reprises et ses tubes dans plusieurs langues, s'est éteint à l'âge de 68 ans.

    "C'est Nikos Aliagas qui a annoncé l'information sur son compte Twitter. L'animateur est actuellement à Athènes où il officie en tant qu'envoyé spécial pour LCI et Europe 1 en raison des élections législatives qui se sont tenues hier dans le pays. L'information a été confirmée au Figaro par la fille du chanteur."

     

    Né en Egypte il y a 68 ans, le chanteur fait ses premiers pas dans la musique à 17 ans en créant le groupe The Idols. Bassiste et trompettiste, il devient chanteur d'un soir quand il doit remplacer au pied levé le chanteur du groupe.

    Il quitte le groupe à la fin des années 60 et atterrit en France avec Lucas Sideras et Vangelis, avec qui il forme le groupe Aphrodite's Child. Le trio se fait connaître avec le tube "Rain and tears", qui se hisse notamment en tête des charts français.

    Demis Roussos vole de ses propres ailes en 1971, avant d'enregistrer deux ans plus tard son premier titre en français pour un feuilleton télé. A la fin des années 80, il se hisse en troisième position du Top 50 avec "Quand je t'aime" et se classe une place plus bas deux ans plus tard avec "On écrit sur les murs".

    Mais son succès ne se limite pas à la France : il prend l'habitude d'enregistrer ses chansons dans plusieurs langues, même en japonais et décroche des tubes en Europe et en Amérique latine, même si les Etants-Unis lui restent inaccessibles.

    La vie de Demis Roussos a également été marquée par la prise d'otages du vol TWA 847, qui devait relier le Caire à San Diago en s'arrêtant à Athènes, Rome, Boston et Los Angeles. Le 14 juin 1985, l'avion est pris en otage par des membres du Hezbollah après son décollage d'Athènes. La prise d'otage dura quinze jours pour certains des passagers, et Demis Roussos fut relâché dès le 15 juin.

     


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