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    Georges Barre Naissance 7 avril 1920 Perpignan, Languedoc-Roussillon Décès 16 février 2011 (à 90 ans)

    Activité principale :

    Chanteur Jordi Barre, né Georges Barre le 7 avril 1920 à Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales) et mort le 16 février 2011 à Ponteilla (Pyrénées-Orientales), est un auteur-compositeur-interprète français d'expression catalane. Jordi Barre Monté très jeune sur les planches, il chante dans les bals de village de la plaine du Roussillon puis sera tour à tour marin, typographe, chef d'atelier.

    Au milieu des années 1960, il rencontre le poète Estève Albert, qui l’encourage à se consacrer exclusivement à la chanson. En 1974, il part vivre à Barcelone où il fait la connaissance des grandes figures de la Nova Cançó, courant musical proche des milieux autonomistes de la fin de l’ère franquiste. Se tenant toujours à l’écart des mouvements politiques, Jordi Barre milite par le chant pour une reconnaissance de la culture et surtout de la langue catalane et devient rapidement une institution pour le public de Catalogne Nord.

    En 1983, il se produit à l’Olympia de Paris. Sa notoriété ne cesse de grandir, sa voix rocailleuse et profonde, son timbre grave « où courent l'eau fraîche des torrents, la rocaille des collines, le bleu de la mer et la folie de la tramontane » (Jean-Michel Collet), sa tenue de scène imposante et son charisme font de ses concerts de grands moments d’émotion et d’intensité à l’égal d’un Paco Ibáñez ou de Silvio Rodríguez.

    Dans une de ses chansons, il évoque les cloches catalanes :

    À tot moment toquen hores. Il chante dans toute la France mais aussi en Espagne, au Portugal, en Angleterre et jusqu’au Japon.

     

    En 1992, il reçoit des mains de Jordi Pujol la Creu de Sant Jordi, plus haute distinction accordée par la Généralité de Catalogne. En 2009, âgé de 89 ans, il enregistre un duo en catalan avec l’un de ses plus fervents admirateurs, le chanteur Cali4, ainsi qu’une chanson avec le chanteur et comédien Tchéky Karyo5.

    Toujours en 2009, il accueille par la chanson Els hi fotrem, sur le podium du Castillet, l'arrivée du bouclier de Brennus à Perpignan.

    En mai 2010, il se produit dans la commune de Tautavel dans un concert événement célébrant ses 90 ans. Jordi Barre aimait la nouvelle vague de chanteur. Il était un fervent supporter de Luce. Il n'hésita pas de lui faire la surprise de sa présence le 23 juin 2010, dans les Studios de France Bleu Roussillon pour son premier direct après sa victoire au concours. Avec Cali (photo l'indépendant) et Luce

    En novembre 2010, déjà très fatigué, Jordi Barre avait rencontré un artiste qu'il appréciait beaucoup, Michel Fugain qui s'était pris la peine de le recevoir dans sa loge lors de son passage à Perpignan pour son concert donné au Théâtre de l'Étang de Saint-Estève. Avec la complicité d'Isabelle Meder de Flash66, il lui avait consacré plus d'une demi heure à l'écouter, Jordi lui racontant ses débuts, sa carrière, son Olympia de 1983. Ils se sont quittés tous les deux avec la larme à l'œil. Jordi d'avoir rencontré son idole, car il ne pensait pas qu'il aurait pris le temps de le recevoir, et Michel d'avoir écouté un grand homme. Il avait assisté ensuite au concert, pour une fois comme spectateur ce qui était rare pour lui.

    En décembre 2010, Jordi Barre, à la fin de sa vie avait rencontré le rappeur emblématique de Perpignan, R'Can artiste confirmé élu révélation en 2001 de Paris Day Rap qui a son style et des textes intimistes, matures. À eux deux, deux générations, deux styles de chanson, ils ont voulu offrir au public un morceau d’une profondeur qui a su rassembler à Perpignan toutes générations, toutes cultures, toute la population pour leur chanson, pour le tournage de leur clip Décloisonnement intergénérationnel.

    Suite à cette rencontre, Michel Fugain de passage à Thuir, le 12 août 2011 reçu des mains d'Isabelle Meder et Erio Tac de Flash667, représentant Virginie Barre, la fille à Jordi le triple Cd de Jordi Barre pour le remercier d'avoir su recevoir et écouter Jordi Barre lors de son passage dans le département en novembre 2010.

    Il meurt le 16 février 2011 à l'âge de 90 ans.

    De nombreuses personnes sont présentes le 19 février 2011 pour son enterrement à la Cathédrale Saint-Jean.

    Voir l'hommage à Jordi Barre sur le blog de Christian le menuisier

    http://autourde.over-blog.com/article-hommage-a-jordi-barre-67398328.html

     


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  • Aujourd'hui c'est PAQUES et ca sent le chocolat dans les chansons

                                                                                            

     

     

     HENRI DES - Le chocolat

     

     

     

    JOE DASIN - le petit pain au chocolat

     

    OLIVIA RUIZ  - La femme chocolat

     

    ANNY CORDY - Cho Cho K K O

       

     

    ANNY CORDY - Bonbons, caramels, esquimaux, chocolat

     

    SABINE PATUREL - Les betises

     

     

     

    LES ENFANTASTIQUES - la chanson chocolat

                                                                                       

     

     


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    http://suite101.fr/article/le-printemps-en-chansons-a33940

     

     

                                                                                                                    

     

     

     

     

     

     

     

    LES CHANSONS POUR LES ENFANTS

     


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    http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1154624-johnny-cash-et-l-album-oublie-out-among-the-stars-12-titres-enfin-sortis-du-placard.html

    Johnny Cash et l'album oublié "Out Among The Stars" : 12 titres (enfin) sortis du placard Publié le 07-03-2014 à 12h00 - Modifié le 17-03-2014 à 22h03 3 réactions | 29477 lu Temps de lecture

    D’emblée, rassurer les plus dubitatifs. Non, il ne s’agit pas d’un hypothétique "American VII" ; et il semblerait que le producteur Rick Rubin n’ait plus (enfin ?) le moindre inédit sous le coude. Bien au contraire, le présent album "Out Among The Stars" constitue un voyage dans le temps, précisément au début des années 1980, où le souffle de l’administration Reagan proclamant "America’s back" se débarrasse peu à peu des cow-boys à l’ancienne.

    Fruits de sessions étalées entre 1981 et 1984, ces douze titres à l’humeur plutôt enjouée, auraient logiquement dû s’inscrire entre "Johnny 99" et "Rainbows". Las, remisés sur une étagère, ils n’ont été exhumés à la faveur d’une entreprise d’archivage qu’en 2012. Certainement par hasard.

    Trop pop ?

    Non, tubesque

    Pur et dur, Johnny Cash s’opposa - selon la légende - à la publication de "Out Among The Stars" au simple motif qu’il en estimait la production bien trop pop. Or, justement, c’est tout le potentiel "tubesque" qui s’en dégage trente ans plus tard ainsi que l’incompréhension face à ce refus de commercialisation… Ce qui frappe comme une évidence, toutefois toujours nécessaire de souligner, c’est le timbre de baryton du natif de Kingsland, Arkansas. Profond mais riche d’infinies nuances :

    tout à la fois charmeur et ténébreux, grave et complice, vieux de plusieurs siècles et cependant fringant. Pure tradition country et virtuosité

    Puis, inimitable signature, ce jeu de guitare, évoquant plus volontiers un train à vapeur dans la plaine que la virtuosité de Chet Atkins.

    Et le répertoire alors ?

    Sur mesure, faudrait-il reconnaître. Du titre éponyme d’ouverture, chronique provinciale dans la plus pure tradition country & western, au final, "I Came To Believe", en forme de gospel, écrit par Cash lui-même, ce disque brille comme seul sait briller un disque à l’ancienne.

    Une seule écoute de "Baby Ride Easy", composée par Clarence Carter (la fille de) et Dave Edmunds, interprétée ici en duo par le Man In Black et son épouse June Carter Cash, renvoie non seulement à la complicité du couple, mais également aux grandes heures du Johnny Cash Show.

    Tout le savoir-faire de Cash

    Puisqu’il est question de reprises, la relecture du classique 1950 de Hank Snow "I’m Movin’ On" en compagnie de Waylon Jennings incarne à merveille l’esprit du Outlaw Movement, qui botta le cul de la vieille garde de Nashville dans les années 1970 et se poursuivit dans le projet The Highway Men, réunissant outre les deux renégats pré-cités Willie Nelson et Kris Kristofferson. Ode bucolique au bonheur domestique dans son "Tennessee" d’adoption, ballade de cœur brisé, "Call Your Mother", ou de rupture "I Drove Her Out Of My Mind", souvenirs d’une jeunesse de cool cat, "Rock and Roll Shoes", Cash joue ici sur du velours, déroulant tout son savoir-faire, à peine poli par le travail d’orfèvre de Billy Sherrill.

    Billy Sherrill, l'artisan qui compte

    D’ailleurs, il serait bon de saluer à sa juste mesure le rôle de ce dernier. Considéré comme une espèce de Phil Spector country & western (au grand dam des puristes de la chose…), amateur d’arrangements sophistiqués, artisan des moments les plus symphoniques de George Jones, collaborateur de Tammy Wynette ou de Charlie Rich - ce qui pose l’homme -, directeur artistique du label Epic à Nashville, producteur de "Almost Blue" d’Elvis Costello, il n’a que peu influencé l’ensemble.

    Il a préféré privilégier une orchestration classique (lap steel, harmonica, mandoline, violon) à l’encontre des canons heavy alors en vogue. Soit une épure bienvenue, conférant une précieuse patine, sans âge mais à la séduction immédiate. S'il ne fallait retenir qu'un titre...

    Et, s’il ne fallait retenir qu’un titre susceptible de convaincre le fan-club comme les néophytes, "Don’t You Think It’s Come Our Time", unissant à nouveau Johnny et June, exhale un parfum bluegrass suffisamment irrésistible pour chavirer ; scellant le sort d’un album trop longtemps considéré disparu :

    celui d’un diamant supplémentaire dans une carrière à nulle autre pareille.

    Johnny Cash - "Out Among The Stars" (Sony Music/Legacy).

     


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     Biographie :

    Fils d'un entrepreneur en maçonnerie italien et d'une mère couturière, il est fasciné très jeune par l'American way of life, telle qu'elle est dépeinte dans les films qu'il va souvent voir au cinéma. Vers l'âge de 8 ans, Édith Piaf et Gilbert Bécaud sont ses premières idoles, bientôt supplantées par le blues, véritable révélation pour l'adolescent : il découvre Robert Johnson et surtout John Lee Hooker. Parfaitement rebelle à la vie scolaire dans laquelle il s'ennuie, il va écumer les pensions et fréquenter pas moins d'une dizaine de lycées jusque vers ses 16 ans.

    À la fin des années 1950, comme bien des jeunes de sa génération (celle du baby boom de l'après-guerre), il est alors marqué par Elvis Presley et James Dean, tout en développant une passion sincère pour le rock des pionniers de la maison Sun et le blues (il reconnaîtra avoir également été influencé par Georges Brassens). Ayant trouvé sa vocation, il apprend la guitare et l'harmonica.

    En 1961, il fonde un groupe amateur appelé Danny Baby et les Hooligans, « Danny » étant une référence à son prénom Daniel. Il chante le plus souvent en yaourt (du faux anglais) tout en s'accompagnant à la guitare. Après son service militaire, il entame une carrière de chanteur en solo.

    En 1963, il enregistre son premier 45 tours sur le label de la célèbre salle parisienne, Golf Drouot. Reviens Sophie, inspirée par la musique noire américaine, passe totalement inaperçue.

    En 1965, il devient une vedette avec la ballade Aline, chronologiquement un des premiers slows de l'été en France avec le J'entends siffler le train de Richard Anthony. Le succès colossal de ce titre (il s'en vendra un million d'exemplaires) dont il a écrit paroles (possiblement en collaboration avec Jean Albertini, son producteur) et musique lui vaudra quelque temps plus tard un procès pour plagiat du chanteur Jacky Moulière, qui l'accuse d'avoir plagié sa chanson La Romance. Il perdra en première instance mais gagnera en appel à la fin des années 1970.

    D'autres succès suivront à un rythme plus ou moins régulier :

    Les Marionnettes, J'ai entendu la mer ou Excusez-moi, Monsieur le professeur. Grisé par sa réussite, il vit alors à cent à l'heure, au propre et au figuré, ses démêlés avec la maréchaussée parisienne pour excès de vitesse au volant de ses Ferrari et Lamborghini faisant partie intégrante de sa légende.

    En 1968, il participe même à une course comme pilote. Il affectionne également les grosses voitures américaines comme les Cadillac. Séducteur impénitent, il a une liaison avec la chanteuse Michèle Torr, qui aura de lui un fils, Romain, né le 18 juin 1967 — quatre ans plus tard, il épousera Véronique (demi-sœur d'Alain Kan), avec laquelle il aura une fille appelée Lucie.

    En 1967, il signe la bande originale du film La Route de Salina, de Georges Lautner, sa seule incursion dans le domaine cinématographique jusqu'à présent. Toutefois, on le verra en 2006 faire une très courte apparition dans le film de Xavier Giannoli, Quand j'étais chanteur, avec entre autres Gérard Depardieu et Cécile de France. D'ailleurs, sa chanson Les Paradis perdus s'imposera très vite comme la chanson-titre de cette romance cinématographique moderne.

    Au début des années 1970, sa popularité fléchit pendant une courte période, durant laquelle il se laisse pousser une moustache qui, avec sa longue chevelure blonde, peaufinera son image de latin lover.

    En 1971, Francis Dreyfus crée le label Les Disques Motors où sortiront désormais les albums de Christophe. Il revient dans les hit-parades avec respectivement Mal et Mes Passagères en 1971 et Oh mon Amour, Main dans la main, Belle et Rock Monsieur en 1972. Le déclic se produit à nouveau pour Christophe lorsque son producteur Francis Dreyfus lui adjoint les services du jeune parolier Jean Michel Jarre, avec lequel il écrit l'album Les Paradis perdus, très influencé par le rock anglo-saxon de l'époque (Pink Floyd, Lou Reed). L'album se classe aux premières places des ventes d’albums, aux côtés de Serge Gainsbourg, devant Gérard Manset, Michel Polnareff et Jacques Dutronc.

    Le succès est à nouveau au rendez-vous, la réussite de leur association étant concrétisée en 1975 par l'album et le 45 tours Les Mots bleus, un des sommets de la carrière de Christophe, qui lui permettra de renouveler son public. Il se produit alors à l'Olympia pour deux soirs à guichets fermés. Christophe a délaissé son look de jeune homme « comme il faut » des années 1960, pour revêtir la panoplie du dandy légèrement décadent chantant d'un air détaché le Dernier des Bevilacqua ou le tube Señorita. Dans un moment de dépression, il dérape alors et tombe pour une courte période dans la drogue.

    En 1976 il collabora avec Boris Bergman pour Samourai, qui contient la chanson Merci John D'être Venu dédiée à John Lennon.

    En 1978, il publie un de ses albums les plus audacieux, aujourd'hui considéré comme son plus bel album Le Beau Bizarre, qui n'aura pas le succès de ses prédécesseurs mais lui vaudra les louanges de la critique. C'est son premier album résolument rock, sélectionné par Libération parmi les 100 meilleurs albums de l'histoire du rock'n'roll. Les textes sont alors signés Bob Decout.

    En 1980 il collabore avec son beau-frère Alan Z Kan pour Pas vu, pas pris et, à la demande de sa femme Véronique, Christophe ressort le 45 tours Aline et aligne trois millions et demi de ventes, à sa grande surprise.

    En 1983, son troisième plus gros succès en simple sera à nouveau une ballade, Succès Fou, dont il vend quelque 600 000 copies et qui achèvera de le cataloguer comme chanteur pour midinettes.

    En 1984 il sort Voix sans issue en yaourt. Christophe se consacre aussi dans les années 1980 à débattre sur les plateaux télé contre le fléau de la faim dans le monde, montrant qu’il est aussi un homme d’engagement. Par la suite, son rythme de travail ne cessera de se ralentir : il compose deux titres pour le CD de Corynne Charby (qui avait joué dans le film à succès de Francis Veber, La Chèvre), il publie un album d'adaptations de standards anglo-saxons des années 1940-1950 (Clichés d'amour), des 45 tours (Ne raccroche pas, qui se veut un clin-d'œil à l'adresse de la jeune Stéphanie de Monaco) mais ne fait plus de scène. Il se consacre alors essentiellement à ses collections de juke-boxes, de disques rares et de grands films — sa cinéphilie était bien connue du directeur de la Cinémathèque française, Henri Langlois, à qui il prêta une copie originale de La Strada de Federico Fellini.

    Mélomane averti, il se tient toujours au courant des dernières nouveautés, afin notamment d'actualiser sa propre musique. Perfectionniste jusqu'à la maniaquerie, il peut passer un an à travailler sur le son d'une partie de batterie. Après un 45 tours passé à peu près inaperçu Chiqué chiqué en 1988, Christophe change de maison de disques en 1995. De Motors, il passe chez Epic, une division de Sony.

    En 1996, il publie un album ambitieux mais qui ne fera guère parler de lui, Bevilacqua, où on l'entend en duo avec son idole Alan Vega du groupe américain Suicide1 (voir filmographie). Véritable disque d'ambiance, qu'on aurait déjà dit plan Bevilacqua surprend par sa modernité : Christophe y est lui-même et ne ressemble plus au dandy crooner des années 1970. Très intéressé par la techno et les synthétiseurs, attiré par les nombreuses capacités qu'offrent les ordinateurs, Christophe a pendant de longs mois bricolé et travaillé voix, sons et musique au studio situé dans sa résidence. Ses chansons ne sont pas écrites sur le modèle couplet-refrain-couplet, elles témoignent plutôt d'un esprit torturé, labyrinthique mais avant tout d'un plan raffiné.

    Cinq ans plus tard, Comm' si la terre penchait connaîtra un meilleur accueil, même si on est encore loin des scores de vente passés. Il annonce alors son retour sur scène (où il ne s'était pas produit depuis 26 ans) et donne une série de magnifiques concerts à l'Olympia. Il a fait appel à des professionnels de la lumière théâtrale et de la danse pour mettre en valeur son spectacle. Assis sur un tabouret, une lumière théâtrale est orientée sur lui pendant que des danseurs se produisent, chorégraphiés par Marie-Claude Pietragalla. Dans le même temps, des images de rock'n' roll sont diffusées. Le disque Christophe Live à l'Olympia publié l'année suivante et le DVD témoignent parfaitement de cette magie retrouvée.

    En 2004, il chante en duo avec Alain Bashung sur la scène de l'Élysée Montmartre Les Mots bleus et Amsterdam. En mars 2005, il apparaît sur la scène de l'Opéra-Comique pour offrir à Brigitte Fontaine une interprétation inoubliable de la chanson Hollywood (paroles de B. Fontaine, musique de Areski Belkacem).

    En 2005 sort un livre d'entretiens de Christophe avec Jean Cléder, Résonances de l'inconnu (voir bibliographie). Dans ce livre il était dit que l'album Bevilacqua allait ressortir en double CD avec les maquettes en yaourt, mais cette version double CD n'est pas encore sortie.

    En 2007, Christophe chante L'un dans l'autre sur l'album Arkhangelsk du trompettiste Erik Truffaz, morceau dont il a écrit les paroles.

    En juin 2008, il sort, chez AZ, Aimer ce que nous sommes : une œuvre large sur laquelle il travaillait depuis 2004, dans laquelle on retrouve les différents visages du chanteur. Il a été enregistré essentiellement de nuit, entre Paris, Séville et Londres, et réalisé par Christophe Van Huffel (du groupe Tanger). Plusieurs artistes ont collaboré à cet album, comme Isabelle Adjani, Daniel Filipacchi, Florian Zeller, Murcof, Jac Berrocal, Carmine Appice et son ancien producteur Francis Dreyfus.

    À fin 2009, il avait vendu près de 6 millions d'albums au cours de sa carrière en France seulement. Dès cette année-là, il entame la tournée "Aimer ce que nous sommes".

    En 2011, il participe à l'album de reprises de chansons d'Alain Bashung intitulé Tels Alain Bashung en interprétant de manière remarquée Alcaline sur le site Rue89 le 13 avril 20114 et reprend en duo avec Brigitte Fontaine Hollywood sur l'album L'un n'empêche pas l'autre, titre qu'il avait déjà interprété seul sur scène. Il ressort cette même année l'album Bevilacqua. Dans le cadre de la tournée Aimer ce que nous sommes, qui a déjà emmené Christophe dans toute la France, en Suisse, en Belgique et au Liban, le 18 juin 2011, il retourne dans sa ville natale, Juvisy sur Orge, où il se produira pour un show de 3h30 devant près de 3000 personnes.

    En octobre 2011 il est invité par Julien Doré sur la scène de l'Olympia. En novembre 2011, il chante en duo Boby avec la chanteuse Loane. En avril 2012, le titre Tandis que sort dans une version franco-grecque en duo avec en. Après une tournée de plus de 100 dates, début 2013, Christophe choisit de donner 7 concerts en France dans une conformation épurée (piano, synthés, guitare). Cette nouvelle tournée s'intituleIntime Tou.

    Le 18 mars 2013, Christophe sort un album d'inédits Paradis retrouvé (BMG). Le journaliste Bayon considère qu'en tant que « yéyé minet rockab electro dandy beauf bouliste à pin-up, Christophe serait ce chaînon manquant elvisien entre Adamo et Vega via Juvet ». Suite au succès des premiers concerts de l'Intime Tour, cette tournée se poursuit jusqu'à ce jour en France et à l'étranger. Le 31 Mars 2014, il sortira un opus prénommé Intime, qui contiendra, selon son site internet officiel, les collaborations d'Elodie Frégé, BB Brunes ou encore Julien Doré.

     

    http://www.christophe-lesite.com/

    , le nouvel album de Christophe Intime, le nouvel album de Christophe Tous les titres de l'album :

    - 1 - Comme un interdit -

    2 - Les mots bleus -

    3 - J'l'ai pas touchée -

    4 - Aline -

    5 - Les paradis perdus -

    6 - Les marionnettes

    7 - Parle-lui de moi -

    8 - La non-demande en mariage -

    9 - La dolce vita -

    10 - Senorita -

    11 - Emporte-moi -

    12 - La petite fille du soleil -

    13 - Alcaline -

    14 - Lita

     

    http://www.telerama.fr/musique/ecoutez-le-nouvel-album-de-christophe-intime,110428.php


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